L’écho des creux

Deux jeunes femmes se glissent dans un cadre neutre, rempli d’une surface monochrome de terre. Ce tableau vivant devient le théâtre de leur métamorphose. En parallèle de ce corps qui se cherche, source de rêveries, s’invente une langue trouée, imparfaite et fragile. 

La danse et les compositions anthropomorphes d’argile de Gretel Weyer amènent une étrange fantaisie de formes et de matières. Renaud Herbin met en scène de nombreuses pièces visuelles et sonores, dont il est parfois l’interprète, le plus souvent à partir d’œuvres dramatiques ou littéraires.